Fantôme digital ?! 👻
En ce moment je me demande : à quoi ressemble un fantôme à l’ère du digital ?
Pas celui qui hante les vieilles maisons, non.
Mais celui qui n’existe pas sur le web.
Pas de présence, pas de visibilité… alors qu’il y a des histoires à raconter.
Et dans un monde où tout – absolument tout – se passe en ligne, est-ce encore possible de vivre sans exister virtuellement ?
On passe nos journées connectés : mails pro, scrolls sur Insta, notre téléphone est devenu notre miroir, une extension de nous même.
Mais cette connexion permanente a un prix : l'infobésité.
Un tsunami de contenus nous submerge chaque minute, chaque seconde.
Alors je me suis posée la question :
si une marque parle sur le web… mais que personne ne l’entend, a-t-elle vraiment parlé ?
On passe des heures à peaufiner notre discours, choisir nos mots, affiner notre offre,
réfléchir à notre client idéal comme pour séduire l’homme ou la femme de nos rêves.
On rêve qu’il nous découvre, qu’il nous choisisse… qu’il clique sur “ajouter au panier”
comme il dirait « Je t’aime ».
Mais au final ?
Vues : 34. Interactions : 0.
C’est là que naît le véritable drame moderne : devenir… un fantôme digital. 👻
Je crois que ce qui manque, ce n’est pas la volonté.
C’est le pont entre ce qu’on dit… et la façon de le diffuser sur le web.
Le bon format, le bon outil … et le bon alignement astral des algorithmes.
Car oui, les leviers du webmarketing ont leur propre loi, et on n’a pas toujours la clé du secret.
Mais au fond, est-ce que ça doit nous décourager ?
Absolument pas.
Sortir du rôle du fantôme digital, ça demande du courage, l’audace d’essayer … encore et encore.
Alors, pour ne plus être un fantôme digital, il faut accepter de jouer.
Tester, adapter, recommencer.
Mais avec pertinence : en choisissant ses leviers digitaux avec stratégie et intention.

